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LIBERTE EGALITE CHOUCROUTE
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28 avril 2016

GILBERT COLLABO (FION NATIONAL), VEUT REMETTRE LES PRATIQUES DE LA GUESTAPO À LA MODE !

Voilà une idée qu’elle est bonne et assez simpliste pour plaire à une large frange de la population française : remettre au gout du jour les pratiques de la Gestapo et de tous les bons pays totalitaires patriotes ! Ah la nostalgie…

« Mais non, ce n’est pas ce que vous croyez ! Elle ne sera appliquée qu’aux affreux terroristes » - Me voilà rassurez ! Mais labellisé « terroriste » avant ou après avoir parlé sous la torture ? Torture qui peut faire dire tout et n’importe quoi, cela me rappelle le bon temps de l’Inquisition - N'est-ce pas François ?

D’abord on commence par les terrorismes : avérés, présumés… puis assimilés.  Par assimilés, il faut entendre ceux qui ne pensent pas comme le pouvoir en place.

Puis par extension, tous ceux qui nous emmerdent : les arabes, les juifs, les roux, les gauchistes, les voisins qu’on envie… pour finir, ses propres amis trop timorés ou qui lorgent trop sur notre place. Pour tous ces braves gens, on ouvrira des camps de vacances. Le grand air et le travail… leurs feront le plus grand bien.

PAS DE PEINE DE MORT : JUSTE LES TORTUn-GILBERT-COLLARD-large570RER… POUR RIGOLER !

Gilbert Collabo est un humaniste, il aime les bêtes. D’ailleurs c’est pour cela qu’il est au FION NATIONAL.

Au menu, le chef tortionnaire vous propose :

  • Electrocution, pour ceux qui ne sont pas encore au courant
  • La baignoire, pour battre des records d’apnée,
  • Une bonne manucure… après plus besoin de vernis
  • Des violences sexuelles, il n’y a pas de mal à se faire du bien
  • Des jeux SM… histoire de se marrer un peu
  • Etc.gestapo

L’imagination dans ce domaine est sans limite, juste dans la limite ou le prisonnier tient le coup et que cela dure le plus longtemps. Il ne faudrait qu’en même pas le tuer, pas toute suite… Gilbert est contre la peine de mort, sauf si le terroriste la demande.

Maintenant, si l’on ou l’autre prisonnier venait à mourir en tombant de sa chaise ou en glissant dans l’escalier… De regrettables accidents du travail ! C’est aussi de sa faute : s’il avait des problèmes de santé, il aurait dû le signaler au médecin qui supervise les opérations.

C’est Jean-Marie LA TEIGNE qui doit être content d’entendre cela, le roi de la gégène pendant la guerre d’Algérie.

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